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Fig. 6.4 : Vue globale des spécialisations de l'objet "amphidisques"
Les conventions utilisées dans cette vue des spécialisations sont identiques à
celles de la vue des dépendances. On notera toutefois que les liens de
spécialisation sont représentés par des arcs droits et obliques et on remarquera
aussi la présence d'un nouveau
il représente un arbre à arcs brisés et
indique pour la racine l'appartenance de celle-ci à un arbre de dépendances. Il
permet aussi, par un simple clic de faire apparaître la vue des relations de
dépendance de cet objet.
6.3.5 Itérations
Lorsque l'expert décèle plusieurs sortes d'un même objet à décrire sur un même
spécimen et qu'il ne souhaite pas imposer sa propre classification locale des
objets (comme celle qui existe pour les amphidisques ou les symptômes sur
folioles sous forme d'arbres de spécialisation), il doit indiquer le nombre
maximum d'itérations possibles pour la description d'un objet (objet multi-
instanciable).
L'itération ne se caractérise pas par un arbre reliant plusieurs objets entre eux
mais par une boucle sur un seul objet qui peut être instancié plusieurs fois (voir
le schéma de la structure du modèle descriptif p. 116). Il s'agit d'une troisième
dimension de description d'un objet, que nous pouvons schématiser comme un
empilement de descriptions ponctuelles.
Afin de mieux comprendre l'itération, il faut se mettre dans la situation au
moment ou le questionnaire est utilisé pour faire une description. Au départ, on a
un modèle d'objets composites ð qui constitue la 1èredimension horizontale du
processus de description et que l'on va utiliser de la manière suivante :
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