|  |  | ou bien encore de visualiser la classification locale des amphidisques entre les
		
		figures 6.2 et 6.4.
		 
		5) Le symbole "[!]" qui précède le nom d'un attribut de l'objet permet de se
		
		rappeler que cet attribut n'a pas encore de domaine d'observation associé (phase
		
		d'élaboration du modèle descriptif).
		
		6) Inversement, le symbole "*" indique que l'expert a déjà renseigné la liste des
		
		valeurs possibles de l'attribut d'un objet.
		
		7) Chaque objet est porteur d'une information locale qui lui est propre comme on
		
		peut le voir sur la figure 6.3. Les attributs des objets, lorsqu'ils existent,
		
		apparaissent dans des champs accrochés aux noeuds de l'arbre. Ils sont activés
		
		par simple clic sur le nom de l'objet. Chaque attribut est indexé à l'objet avec un
		
		certain domaine d'observation. Par exemple, la taille est un attribut qui existe
		
		aussi bien pour l'objet "amphidisques" que pour l'objet "corps" (cf. figure 4.4)
		
		mais leurs domaines d'observation seront différents (le premier s'exprime en
		
		microns et le second en mm).
		
		8) En cliquant une fois sur le nom de l'attribut, on fait apparaître son domaine
		
		d'observation (s'il a été renseigné). La liste des valeurs possibles vient se
		
		superposer à la liste des attributs observables de l'objet (sous l'attribut cliqué).
		
		6.3.4 Spécialisations
		
		La vue globale des dépendances est le plan principal de description des
		
		individus. L'observateur est amené à se déplacer entre les objets pour se
		
		positionner sur l'un d'entre eux : c'est pourquoi on peut parler de parcours d'un
		
		arbre de composition.
		
		Par opposition, un arbre de spécialisation ne se parcourt pas car l'observateur est
		
		en train de décrire un objet sur place. Cet arbre donne la possibilité à l'utilisateur
		
		de choisir un noeud pour remplacer le nom du composant générique par un autre
		
		nom plus précis. C'est donc un arbre de substitution. La substitution
		
		concerne tout objet de l'arbre de composition que l'expert peut faire préciser. Par
		
		conséquence, les arbres de spécialisation sont "orthogonaux" à l'arbre de
		
		composition.
		
		Les arbres de spécialisation n'étant pas de même nature que l'arbre de
		
		composition, on les visualise dans des fenêtres différentes sous la forme d'une
		
		vue globale des choix de substitution possibles.
		
		Dans la figure 6.4, on donne l'exemple de l'objet "amphidisques" spécialisable
		
		en objets "macramphidisques", "mesamphidisques" et "micramphidisques" selon
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